Un univers sonore autour du dadaïsme, de fluxus et des lettristes, qui entremêle poésie sonore et musique dans des compositions de geste et de voix, dont une adaptation pour percussions de la célèbre Ursonate de Kurt Schwitters en version intégrale.
Un univers sonore autour du dadaïsme, de fluxus et des lettristes, qui entremêle poésie sonore et musique dans des compositions de geste et de voix, dont une adaptation pour percussions de la célèbre Ursonate de Kurt Schwitters en version intégrale.
Solo de clavier (vibraphone et marimba), adaptation
musicale autour d’Hélène de Montgeroult,
Clara Schumann, Fanny Mendelssohn, Nanneri Mozart.
Ces femmes d’avant-gardes vivant dans l’ombre
masculine, sont un contre-point aux performeuses puissantes Yoko Ono, Charlotte Moorman, Catherine Jauniaux, dont la présence accompagne le spectacle.
C’est une double performance adaptée aux musées, aux galeries comme à la scène, qui fait dialoguer musique, image et vidéo. Alors que ces moyens se répandent dans l’art contemporain, le mapping, la vidéo, peuvent ils dépasser l’illustration ? Comment un musicien
se saisit-il de ces nouveaux instruments ?
LE WAYFARER (le voyageur) est un concept de concert uniquement réalisé à partir de timbales. Comme le Winterreise de Schubert, esseulée dans ce voyage instrumental ‘au seuil de la démence’, ce récital fait de la timbale un instrument soliste, dont s’exprime toutes les couleurs. Ce programme a géométrie variable est tissé d’improvisation et compositions contemporaines.
Itinérance percussionniste, électronique et scénique. La mise en image de Tryptique est conçue à partir d’une structure scénographique évolutive qui potentialise et met en valeur la relation étroite entre corps, musique et espace. L’articulation des mouvements sonores, plastiques et corporels se fait par des rubans de Möbius pliables et dépliables, qui visent à distinguer les trois parties sonores ainsi que la troublante atmosphère de l’oeuvre.